Un sweat jeannette pour le défi du fil DDF2018#2

Rendez-vous sur le site de mes petites (re)créations pour avoir tous les détails. Il s’agit simplement de se faire plaisir en participant aux événements mensuels organisés par Stella. L’objectif est avant tout de faire découvrir aux autres passionnées du fil que nous sommes une de nos réalisations.

Trop Cool ! Si on est libre de présenter ce que l’on souhaite partager, des thèmes optionnels sont proposés pour guider ou encore booster l’inspiration.

Pour le mois de février, 2ème défi de l’année 2018, Stella a choisi les termes suivants : « Cactus, ananas, ou flamant rose  » et « Tawashi ! ».

Banco, les trois premiers ont une résonance immédiate dans ma tête, par contre « Tawashi », bizarre, qu’est-ce donc que ce truc là ?

Une petite question à Mr Google permet aussitôt de savoir qu’il s’agit d’un concept made in Japan dont se sont emparées les adeptes du zéro déchet : exit les éponges classiques, place à l’éponge écologique faite maison à partir de chutes de tissus ou de laine savamment entrelacés ou crochetés.

Interloquée, hésitante, je me promets de tester prochainement et l’inscris dans ma To do List. Il me faudra donc faire un tawashi pour me convaincre de ses nombreux avantages. Affaire à suivre …

Pour l’instant, je dois décider entre « Ananas, Cactus et Flamant Rose ». Dur est le choix ! J’avais bien envie de coudre des petits rideaux parsemés de cactus pour la fenêtre de ma cuisine ou me lancer dans la confection d’une veste doublée d’une fine cretonne aux flamants roses. Mais, c’était sans compter la furieuse envie de mes ciseaux (ou plutôt de mon cutter rotatif) de s’attaquer à ce petit molleton plein d’ananas trouvé au quartier des tissus au début des soldes de janvier. C’était non seulement l’occasion de participer au défi du fil DDF2018#2 mais également de tester un des patrons issu du livre « Coudre le stretch » de Marie Poisson  que le père Noël m’avait apporté.

J’ai jeté mon dévolu sur le modèle du sweat-shirt Jeannette, taille 36, et suivi scrupuleusement toutes les consignes. Mon coupon faisant à peine 1 m, pas possible de faire des manches longues. Je décide donc d’opter pour des manches 3/4 et de terminer le bas comme pour l’exemple de la marinière, fentes sur les côtés avec un dos légèrement plus long que le devant. Côté encolure, alors que j’avais conservé le modèle de base ras de cou, j’ai été obligée de la modifier et de l’élargir. Peut-être que mon tissu n’était pas assez extensible car une fois terminé, le col était si serré qu’il fallait forcer pour passer la tête. Les explications du pas à pas sont très claires mais  il m’a fallu faire de nombreux aller-retours entre les différentes chapitres pour bien comprendre comment calculer la bonne longueur de la bande d’encolure.